les plaies encore sensibles de la Guerre d’Algérie

les plaies encore sensibles de la Guerre d’Algérie

Le maître de cérémonie a fait le rappel des combats en Algérie, commencés dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, sous forme d’émeutes jusqu’en 1954 et de lutte armée de 1954 à 1962, pour se terminer par le cessez-le-feu du 19 mars 1962, suite à la signature, la veille, des accords d’Évian. Le 3 juillet 1962, l’indépendance de l’Algérie est reconnue. Des centaines de milliers de personnes ont péri. Même après le cessez-le-feu, jusqu’en 1964.

André Desormaux a lu le message de la Fnaca. Le sous-préfet, Ronan Léaustic, a lu le message de la secrétaire d’État auprès du ministre des Armées.

« La journée nationale du 19 mars ne s’est pas imposée, il a fallu cinquante ans pour que la Nation accepte de rendre hommage et d’honorer les morts de cette guerre. Ce n’est ni une victoire ni une défaite ; l’issue de la guerre n’a pas été réglée par les armes ».

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