L’Algérie se rêve en grand exportateur d’hydrogène

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L’Algérie se rêve en grand exportateur d’hydrogène

D’ici à 2040, Alger ambitionne de produire et d’exporter 30 à 40 TWh d’hydrogène gazeux et liquide.
646880545/bancha – stock.adobe.com

L’Allemagne a manifesté son intérêt pour s’approvisionner avec ce «gaz vert».

Alger

C’est la nouvelle ambition de l’Algérie: devenir un pays exportateur d’hydrogène. Et plus précisément approvisionner l’Europe, à l’horizon 2040, à hauteur de 10 % de ses besoins en hydrogène vert. De l’autre côté de la Méditerranée, certaines capitales se sont déjà positionnées. Berlin s’active pour capter ces futures exportations. Début février, l’Allemagne et l’Algérie ont notamment signé un accord pour la création d’une «task force» commune pour le développement de l’hydrogène vert (produit à partir d’électricité renouvelable) et le lancement d’une unité expérimentale de production d’hydrogène vert sur le site de Sonatrach à Arzew (Ouest), d’une capacité de 50 mégawatts. L’Allemagne vient d’allouer 20 millions de dollars à ce projet. Un accord signé le 22 décembre entre Sonatrach, major algérienne et africaine des hydrocarbures, et la société allemande VNG, prévoit de livrer de l’hydrogène à partir de 2030.

En janvier 2023, l’italien ENI avait, lui aussi, signé un accord de coopération…

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