Algérie : le risque du surplace

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Algérie : le risque du surplace

<br /> Algérie : le risque du surplace | IRIS

10.09.2024

 

Alors que le président algérien A. Tebboune vient d’être réélu avec 95% des voix, le désenchantement et la lassitude s’imposent dans la société civile algérienne, notamment depuis la répression du mouvement de protestation du Hirak. Si pour l’instant la situation économique algérienne est stable du fait des revenus pétroliers, l’absence d’innovations ou d’investissements par le régime fait peser un risque de « surplace » qui ne lui serait pas favorable. Parallèlement, l’Algérie fait face à de nombreux défis extérieurs, notamment à ses frontières, et se retrouve isolée de la scène internationale, en particulier sur la question du Sahara occidental. Pascal Boniface revient sur cette réélection et sur les enjeux qu’elle soulève pour l’avenir du pays.

L’IRIS, association reconnue d’utilité publique, est l’un des principaux think tanks français spécialisés sur les questions géopolitiques et stratégiques. Il est le seul à présenter la singularité de regrouper un centre de recherche et un lieu d’enseignement délivrant des diplômes, via son école IRIS Sup’, ce modèle contribuant à son attractivité nationale et internationale. L’IRIS est organisé autour de quatre pôles d’activité : la recherche, la publication, l’organisation d’évènements et la formation.

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